SOCIETE
ET SI ON AIDAIT LES BROUTEURS, MICROBES OU PROSTITUEES 2.0 AU LIEU DE LES BLAMER
Mon amour pour l’entrepreneuriat m’a conduit à essayer plusieurs initiatives dont posséder et gérer mon propre cybercafé. Dans cette entreprise j’ai eu à côtoyer plusieurs jeunes garçons ou filles dits cybercriminel que nous appelons en Côte d’Ivoire les brouteurs. Ces jeunes contactent des personnes qu’ils appellent ‘’clients’’ et réussissent à leurs soutirer de l’argent qui atteignent souvent les millions ou même le milliard comme le fameux commissaire 5500.
Ce qui est remarquable c’est la manière à laquelle ils réussissent à soutirer de l’argent vous me parlerez du mystique surement j’avais le même préjugé avant que j’eusse observé plusieurs et que je ne sache qu’il existe des clés de la réussite.
En effet ces enfants sont réellement intelligents et peuvent réussir n’importe qu’elle initiative. Ils ont juste un problème de valeurs et de pensées. Aidons-les et ils pourront être capables de faire des prouesses de façon honnête. Selon beaucoup que j’ai eu à questionner, le fait qu’ils s’adonnent à l’arnaque ou la prostitution 2.0 c’est justement parce qu’ils désirent avoir de l’argent pour subvenir à leurs besoins, ce qui est légitime pour chacun d’entre nous qui sommes sur la terre des hommes mais c’est la manière de se procurer cet argent qui fait défaut.
Donc pour les aider nous ne devons pas les blâmer mais trouver des moyens pour canaliser cet esprit qui les poussent à la malhonnêteté pour gagner de l’argent. 100% de ces brouteurs ou prostituées 2.0 ont débuté leurs pratiques pendant qu’ils étaient sur les bancs de l’école. APPRENEZ DES VALEURS DE LEADER A VOS ENFANTS ILS REUSSIRONT
Une solution parmi tant d’autre est de leurs communiquer des valeurs, leurs apprendre à se donner des objectifs à travers une compétence qu’ils auront choisi. Voir aussi (Cybercriminalité, Microbes ou délinquance juvénile : Apprenons à nos enfants à savoir dire ‘’NON’’)
BAMBA MAMADOU
Nos enfants peuvent êtres des microbes, des brouteurs ou prostituée
La cybercriminalité a aujourd’hui pris de l’ampleur, directement lié à l’explosion technologique notamment internet, cela va sans dire que le nombre de cybercriminels, pédophiles etc… va aussi exploser. En Côte d’Ivoire communément appelé « BROUTEURS » les cybercriminels augmentent considérablement et beaucoup de jeunes ivoiriens s’adonnent au broutage et nos enfants si ce n’est déjà fait sont en passe de rejoindre cette corporation de brouteurs.
Les prostituées 2.0 sont des filles, qui ne sont pas formellement des prostituées comme celles rencontrées sur les trottoirs, mais qui à travers les réseaux sociaux courtisent des hommes et leurs proposent des ébats sexuels en échange d’une somme d’argent qu’elles fixent. En Côte d’ivoire ces filles sont appelés des gérantes de ‘’bizy’’ elles se transforment aussi en proxénète pour proposer à leurs amies qui pour la majorité sont des élèvent.
Pourquoi nos enfants sont des délinquants en sursis ?
100% de nos élèves ont un ami(e) microbe, prostituée 2.0 ou qui a déjà fait du broutage.
70% des jeunes qui utilisent Facebook ont déjà conversé avec un brouteur, une prostituée 2.0 et 60% on déjà demandé conseil auprès de leurs ami(e)s qui pratiquent ces actes.
Les élèves sont les plus vulnérables et il est important de vite agir en apprenant à nos enfants à ne pas se laisser influencer négativement par leurs amis. Et après leurs accès ils deviennent les plus dangereux (se) vu qu’ils ou elles sont plus instruits (es). Comment ne pas être influencé négativement dans notre guide du succès scolaire. (Voir aussi : Cybercriminalité, Microbes ou délinquance juvénile : Apprenons à nos enfants à savoir dire ‘’NON’’)
Mieux vaut prévenir que guérir
BAMBA MAMADOU
Cybercriminalité, Microbes ou délinquance juvénile : Apprenons à nos enfants à savoir dire ‘’NON’’
Ayant grandit dans un quartier précaire, j’ai eu à cotoyer des délinquants, des prostituées, microbes et je suis arrivé à la conclusion que le fait qu’un enfant devienne un délinquant est lié au fait d’avoir succombé à l’influence de son entourage négative et des difficultés de la vie.
En effet, chacun d’entre nous dans ce monde a été toujours influencé, est influencé et sera toujours influencé soit par son entourage, les médias et les situations qu’ils rencontrent.
Dans un groupe de délinquants on a toujours besoin de nouvelles personnes pour nous suivre et tous les moyens sont bons pour appater de nouveaux adhérents.
Concernant les enfants (microbes) celui qui adhère a toujours un ami qui fait parti du gang. Cela s’apparente à une sorte de parrainage mais dans ce cas ci il n’y a qu’un seul chef et tous ceux qui adhèrent sont au même pied d’égalité, ce qui fait que le nouveau qui adhère peut être plus rapproché du chef en fonction de sa compétence.
Pour faire adhérer son ami à sa pratique et son gang il lui montre ce qu’il aime (femmes, argents, habillements, bijoux, drogues, portables, ordinateur etc…) et peut le lui donner facilement jusqu’à ce qu’il soit accrocher, c’est à ce stade qu’il lui montre comment l’avoir et il est présenté au chef. Ce dernier le motive une dernière fois et lui confie sa première mission après son initiation contre une récompense. Ce dernier voyant qu’il peut avoir plus se sert de tous son talents pour atteindre son objectif et vlan il est dans la gang.
Le processus est le même dans plusieurs autres pratiques telles que la prostitution, le broutage (cybercriminalité), etc…(voir Nos enfants sont des brouteurs en sursis)
Tout enfant est susceptible d’être influencé quelque soit son origine sociale c’est la manière de faire qui diffère. Pour lutter contre cette délinquance juvénile, seul l’enfant peut réussir à éviter cette vie en disant non à ces influences. Quelque soit la protection des parent, du gouvernement, ou les éducateurs ces derniers ne seront pas toujours présent autour de nos enfants. Comme le dit un adage africain ‘’au lieu de toujours donner du poisson à quelqu’un (un enfant) apprend lui à pêcher lui-même son poisson. La solution est d’apprendre à nos enfants à savoir dire « NON » aux influences négatives.
Un enfant peut rejeter ses influences en sachant dire ‘’non’’ aux avances et cela passe par l’apprentissage :
D’avoir un objectif (voir notre guide du succès)
D’avoir des valeurs (voir APPRENEZ DES VALEURS DE LEADER A VOS ENFANTS ILS REUSSIRONT)
D’avoir une confiance en soi (Clé 3 du guide du succès)
Un enfant qui a un objectif, des valeurs et une confiance en soi sera inébranlable et ne laissera aucune influence changer son cap. Même ceux qui ont déjà succombé peuvent s’en sortir. (Voir ET SI ON AIDAIT LES BROUTEURS AU LIEU DE LES BLAMER)
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BAMBA MAMADOU
LA PAIX ET LA RECONCILIATION : UNE ATTITUDE INTERIEURE ET PERSONNELLE (2)
La paix ne se décrète pas. Certes, les traités de paix dans les manuels d’histoire aux conflits sanglants sur le terrain entre des groupes d’hommes, se succèdent des accords onusiens sur « papier » entre des chefs de guerre…
Illustration faite des Accord à Marcoussis, Kara au Togo, Afrique du sud…, concernant les antagonistes Ivoiriens. Avec le recul, l’on s’aperçoit que les partages de territoires, s’ils ont mis un terme aux bruits des canons, n’ont pas cependant apporté véritablement la paix.
Car, la paix n’est pas seulement l’absence de guerre. Ce fut le cas de qui, tout en vivant des décennies de paix…, a vu certains de ses citoyens subir quelques cas d’injustices, de frustrations, ayant compromis la paix sociale. Etre en paix, veut dire aussi être tranquille, assuré qu’aucun danger immédiat ne nous menace. Cette attitude, bien entendu, n’exclut pas qu’il puisse y avoir quelques motifs de tensions.
Mais ces tracas ne constituent pas en eux-mêmes, de véritables menaces. La dérive des rapports sociaux n’interviendra qu’en l’absence d’attention mutuelle. Au fond, c’est bien l’homme dont il est question : l’homme qui, par faiblesse ou ignorance, se rend esclave de l’idéologie, de l’idolâtrie de l’argent, du pouvoir.
Si l’ivoirien est capable quand il rencontre le prochain, de lui faire une place toute grande dans son cœur, sans jugement, sans restriction, alors ce dernier se sentira pas menacé, il se laissera au contraire envahit par la grâce de la confiance. Seule l’attitude positive de l’ivoirien pourrait être porteuse de paix (insérer livre).
N’étant ni responsable politiques charismatiques ni femmes ni hommes puissants, les ivoiriens qui ne peuvent pas modifier individuellement le cours des drames injustes subis, pourraient cependant, transcender leurs divergences.
Ils pourraient aussi propager la paix dans leurs cœurs et dans leurs environnements. Mieux, ils deviendraient des Artisans de paix. Par ailleurs, quelque différent que soit l’autre, il lui est possible de le regarder comme un frère, une sœur, voire une créature de Dieu. Utopie ! Diraient d’aucuns.
Alors, que chacun s’efforce d’améliorer son comportement, sa perception du prochain, en ces périodes critiques.
Ainsi, la Paix, attitude intérieure et personnelle, à jamais demeurera dans les cœurs et dans l’âme de ce peuple épris de paix et de convivialité !
LA PAIX ET LA RÉCONCILIATION : UNE ATTITUDE INTÉRIEURE ET PERSONNELLE
Depuis les évènements du 19 septembre 2002 jusqu’à ceux de la crise post-électorale 2011, les ivoiriens, ces derniers temps, sont sensibilisés, s’il en était besoin, au bien inestimable de la paix.
Avant d’être une exigence sociale ou politique, la paix est une attitude intérieure. Tous, nous avons le moyen d’y contribuer. Depuis quelques mois le mot paix revient sur toutes les lèvres. Il est imprimé dans les tous les journaux et inscrit dans tous les cœurs.
Tous, nous avons été consternés par les guerres en côte d’ivoire, en Lybie, en Syrie etc.. Surtout dans les moments de graves tensions sociales. Situation qui a fait craindre à plus d’un ivoirien, l’horreur des déchirements militaro-ethniques et sociopolitiques, etc. Tous autant que nous sommes voulons la paix.
Et quand cette paix est menacée comme en ce moment dans notre pays et dans le monde, nous désignons aussitôt des coupables. Nous prononçons des condamnations sans appel et multiplions, comme si, avec nous, « on n’en serait pas là ».
Pourtant, nous acceptons aisément les conflits qui peuvent surgir dans notre vie conjugale, familiale et sociale, les intégrant comme inévitables.
Or si nous considérons vraiment la paix, il convient de nous interroger sur ce qui la favorise et de nous demander si elle ne prend pas déjà ses racines en nous.
Par nos comportements personnels, nos pensées, nos actes quotidiens, sommes-nous facteurs de paix ? Et si la paix commençait par notre unité, notre solidarité et notre humilité ?
Jean Marcel Konan